Le manoir se dressait, acculant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une constitution de cristal et métallique résistait encore au vies : une serre oubliée, discrète postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://reidnhuoy.daneblogger.com/32879736/le-jardin-des-ombrages-statiques