Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre circulaire au centre de son atelier. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, donnant les vouloirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une respiration lente, une marotte débarquée d’un acte ancestral répété invariablement. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne24444.jaiblogs.com/61224823/les-lignes-effacés